Banane de nombril en laiton antique tribal

Acier chirurgical 316L (SS316L)

L’acier chirurgical SS316L est fabriqué à partir d’acier chirurgical et est celui le plus utilisé dans la fabrication des bijoux de perçage corporel. Les deux normes relatives à la qualité de l’acier s’appliquant aux bijoux de perçage sont : ASTM F138 et ISO 5832-1. Ces normes décrivent les qualités requises pour les implants chirurgicaux.

L’élément contenu dans l’acier chirurgical pouvant parfois provoquer des réactions allergiques chez certaines personnes est le nickel. Cependant, lorsque le produit fini est poli, un peu comme un miroir lustré, une couche protectrice d’oxyde de chrome se forme, réduisant ainsi la libération du nickel dans les tissus, ce qui diminue le risque d’une réaction allergique. L’acier chirurgical peut être stérilisé dans un autoclave.

Consulter les certificats pour plus d’informations. Vous pouvez aussi consulter les normes européennes concernant l’utilisation du nickel pour les bijoux de perçage.

• LE MAGNÉTISME DE L’ACIER CHIRURGICAL 316L (SS316L)

Quelques questions reviennent souvent concernant le magnétisme de l’acier chirurgical SS316L. Certaines personnes croient encore que si l’acier est magnétique, c’est parce qu’il n’est pas chirurgical; ce qui est totalement faux. L’acier SS316L est une forme d’acier à faible teneur en carbone. Bien qu’il ne soit pas magnétique lors de la production, il peut le devenir lorsqu’il est travaillé.

Laiton

Le laiton est utilisé en raison de son éclatante couleur dorée, similaire à l’or et est très tendance pour les bijoux de perçage au look tribal. Les populations indigènes du monde entier utilisent cette matière pour leurs bijoux de perçage.

Le laiton que nous utilisons est un alliage de cuivre, de zinc et d’argent, sans éléments toxiques comme le nickel, le plomb et le cadmium.

Cependant, nous ne recommandons pas le port de bijoux en laiton lors d’un perçage initial ni pour les personnes à la peau sensible, car ils peuvent causer des irritations.

DIRECTIVES POUR LES BIJOUX EN LAITON

Tout d’abord, les bijoux en laiton ne sont pas travaillés de la même façon que les bijoux en or, en argent ou en plaqué or rose. Ce que nous recherchons dans un bijou en laiton est sa singulière couleur brune verdâtre vintage du bijou tribal.

Oui, il se peut qu’une décoloration verdâtre apparaisse là où le bijou a été porté, mais cette décoloration tient généralement du fait que le métal a réagi avec votre peau, ou à un produit appliqué sur votre peau comme de la lotion à main.

En fait, c’est lorsque l’acidité de votre transpiration (ou de votre lotion) entre en contact avec le cuivre dans le bijou qu’il corrode et que des sels de cuivre se forment. Ces composés verdâtres peuvent marquer votre peau, tout comme la couleur si reconnue qui recouvre la Statue de la Liberté.

D’autres métaux peuvent aussi produire des effets similaires. Par exemple, l’argent dans l’argent Sterling, souvent utilisé en bonne quantité dans les alliages de bijoux en or, peut également se ternir lorsqu’il entre en contact avec la peau. Ainsi, cette ternissure peut laisser une marque verdâtre ou noire sur la peau. Bien que ces marques soient souvent associées à des bijoux de pacotille, l’oxydation peut aussi se produire avec les bijoux de qualité.

Généralement, l’acier inoxydable et l’or blanc ne s’oxydent pas.

La bonne nouvelle est que vous pouvez facilement nettoyer ces bijoux, même les plus ternis, en les immergeant pendant 30 minutes (si très oxydés) dans du ketchup et de l’eau. Votre bijou en ressortira comme neuf.

Pour réduire l’effet de ternissure, enlevez vos bijoux avant de vous laver avec du savon.

Perles simulées

Les perles simulées ne sont pas naturelles. Elles sont fabriquées par Swarovski avec un noyau de cristal. Leur brillance harmonieuse et lustrée est obtenue grâce à une technologie de revêtement unique, développée par Swarovski. Cette méthode de production combine la qualité d’un noyau de cristal parfait avec la beauté d’un revêtement perlé. Cette technologie donne à la perle un éclat fascinant, qui semble émaner de l’intérieur de la perle elle-même.